Un Weekend Chez Ma Belle SœUr

Après notre séance dans les vestiaires de la piscine, ma belle sœur et moi, nous n'avons pas profité du reste de la journée qui nous était offert. Rattrapée par sa conscience, ma belle sœur préféra tout oublier, ce qui me fit bien chier sur le moment. Elle finit ses vacances chez nous comme si de rien n'était et retrouva son mari avec lequel elle se rabibocha. Ma femme me confia même que leur sexualité était reparti en flèche.

Le couple à nouveau unis, ils nous invitèrent à passer un weekend chez eux. J'étais ravi de revoir ma belle sœur car de mon coté, je n'avez pas pu oublier et je me masturbais régulièrement en pensant à elle.

Nous arrivèrent le vendredi soir pour un retour prévu le dimanche en fin d'après midi. Tout se passa bien. Ma belle sœur était radieuse et très souriante. Quand je croisais son regard, elle me souriait sans aucune gène. Elle me perturbait quand même... Nous n'avons rien fait de spécial durant le séjour à part boire, manger et rigoler. La première soirée fut bien arrosé et c'est à moitié ivre que tout le monde monta au lit.

Je décidai de calmer mes ardeurs avec ma femme et la saisi contre moi dès que la porte de la chambre fut fermée. Ben dis donc, me dit-elle amusée. Elle savait où je voulais en venir. Elle fit mine de protester en choisissant une excuse bateau, comme quoi nous n'étions pas chez nous, et que dans l'état où nous étions, nous allions en mettre partout. Je lui répondit directement que j'allais jouir dans sa bouche, pour éviter les tâches... Elle répondit amusée que vu comme cela, il n'y avait pas de problème. Elle qui n'avait pas l'habitude d'avaler, ou très rarement, on peut dire que l'alcool l'avait débridé. Ce soir là, je la baisai dans tous les sens en pensant à sa sœur. Elle reçu comme convenu mon sperme dans la bouche après une bonne levrette accompagnée d'un pouce dans le cul. Elle se jeta sur ma queue à mon signal pour me sucer comme une chienne en chaleur.

Çà faisait longtemps que je ne l'avait pas vu comme ça et je l'encourageai à le faire plus souvent. J'avais parfois le droit à des séances très hard où elle faisait la star du porno mais c'était devenu trop rare à mon goût. Elle répondit un si tu veux, sans grande conviction tout en se faufilant sous la couette. Elle s'endormit directement sans tarder. Allait-elle se souvenir de la soirée ? Et surtout de sa réponse...
Je m'endormis contre elle, en me collant contre son dos et ses fesses. Elle ne dormait jamais nue, mais là, elle n'avait pas eu le courage de se rhabiller. Je profitai de ses orifices un moment en pensant à sa sœur, avant de m'endormir.
Elle ne se rendit même pas compte que j'avais visité son petit trou du cul avec deux doigts en même temps, elle qui n'aime pas ça.

Le lendemain, elle eu un vague souvenir de nos ébats. Elle me demanda si j'en avais bien profité et fut amusé de savoir qu'elle s'était comporté comme une vrai salope. Elle quitta la chambre pour aller préparer le petit déjeuner en me demandant de ne pas trop flemmarder au lit.

Tout le monde était vaseux durant la matinée. Nous avons eu du mal à aller nous laver, préférant comater devant la TV.
J'en profitai pour mater ma belle sœur en petite tenue car elle est descendue de sa chambre en tee shirt long avec un shorty moulant, comme à son habitude. Je l'avais vu dans cette tenue pendant des années, mais là j'avais envie de lui enlever, son shorty.

La journée fut banale. Repas, console, sortie. Le soir aussi. Moins de beuverie, donc ma femme fut moins ouverte au lit.
Elle me promit d'être salope à la maison mais voulu se reposer ce soir là. Je n'avais pas tout perdu.

Heureusement que nous avions pas entamer des cochonneries car sa sœur et son mari sont venu toquer à notre porte. Il devait remplacer un collègue de garde dans son boulot. Des machines en pannes, etc... Il était donc venu nous dire au revoir car nous repartions le lendemain après midi, et on l'aurait loupé.


C'est le lendemain matin que l'ambiance changea du tout au tout. Et je ne l'avais pas vu venir ! Alors que les frangines papotaient sur le canapé, encore en pyjama, je m'étais douché le premier. Les filles eurent du mal à quitter leur conversation mais ma belle sœur fini par y aller avant ma femme pendant que celle ci préparait nos sacs pour le retour, à l'étage. Je les ai encore entendu discuter un moment avant que ma femme prenne enfin la salle de bain. Elle était en haut aussi. J’entendis l'eau couler en même temps que ma belle sœur descendit l'escalier. J'allais me retrouver seul avec elle et je ne savais pas comment me comporter. Je n'eus pas besoin de réfléchir longtemps. Alors que je l'observais descendre les marches dans sa petite robe, elle me lança un regard provocateur, sa jupe relevée jusqu'aux hanches. Elle n'avait pas de culotte !

Sans rien dire, elle s'arrêta devant moi et m'embrassa à pleine bouche alors que je m'étais levé pour aller à sa rencontre. La seule chose qu'elle m'a dit c'est de me dépêcher. Alors c'est ce que j'ai fait. Je l'ai embrassé comme un fou jusqu'à lui lécher les joues et les lèvres. Elle fit tourner sa langue avec la mienne pendant que je lui empoignai le cul. Elle me repoussa un instant en me demandant de faire attention à sa robe. Elle l'a retira d'une traite pour se retrouver à poil dans son salon. Je me jetai de nouveau sur elle pour la mettre à genoux sur le canapé. Elle avait la chatte littéralement trempée et ça commencer à couler sur ses cuisses. Elle avait du se chauffer en attendant que ma femme commence sa douche. Je lui enfonçai directement deux doigts dans la chatte pendant que je lui suçai le trou du cul. J'étais comme un animal en rute et je m’excitai sur ses trous pendant peut être 1 à 2 minutes à toute vitesse.
C'était vraiment bestiale et ma belle sœur gémissait discrètement. Elle m'arrêta dans ma frénésie pour me demander de la baiser, alors je m'enfonçai dans sa chatte sans ménagement.
Si l'eau de la douche n'avait pas couvert le bruit, ma femme aurait sans doute entendu le claquement sourd de mon pubis et des mes couilles contre le cul de sa sœur. Encore plus quand je lui mis une série de petites claques en la traitant de salope. J'étais déchainé et j'osai tout. Son cul me faisait vraiment envie alors je lui plantai deux doigts dedans sans me contenir. J'accompagnai mon geste en lui demandant si elle aimait ça, avec une voix de vicieux. Elle me répondit oui alors je la sodomisai brutalement avec mes deux doigts tout en accélérant ma queue dans sa chatte. Ce fut le coup de grâce pour ma belle sœur. Elle se mit à jouir en étouffant ses cris dans un coussin du canapé. Par chance, tout se passa relativement silencieusement. Elle me demanda d'arrêter en se laissant tomber sur les épaules et en agitant un main au dessus de ses fesses. L'autre gagna son entre jambe pour se masser le clitoris, comme pour se finir à son rythme. Je restai planter derrière elle, la queue en feu, à la mater se toucher. Quand elle se retourna, elle était en sueur et avait le visage tout rouge. J'eus un moment de panique, pensant tout de suite que ma femme allait nous calculer. Ma belle sœur me rassura tout de suite en me disant qu'elle allait aller à la boulangerie et que cela allait la rafraichir. Sans rien dire, elle se pencha sur moi pour me sucer. Entre deux succions, elle me demanda à nouveau de me dépêcher alors je lui demandai un 69, vite fait bien fait. Elle m’enjamba dans la foulée et posa sa chatte sur mon visage. Je me tardai pas pas jouir devant ce si beau cul juste devant mes yeux. Ma belle sœur fut surprise et n’eut pas le temps de remettre ma queue dans sa bouche tout de suite. Ma première giclée lui toucha le menton et le cou. Le reste fut avalé. Elle ne voulait sans doute pas laisser de traces, comme ma femme l'autre soir. Les coquines !

Le bruit du sèche cheveux ne nous laissa pas le temps de profiter de l'instant. Ma belle sœur se redressa aussitôt en me demandant de me rhabiller.
Alors qu'elle se dirigea vers la cuisine pour se nettoyer le visage, je l'arrêtai dans son élan pour lui demander un ultime cadeau. Je voulais une photo d'elle. Elle hésita quelque secondes et me demanda si elle pouvait me faire confiance. Alors que je lui répondais par l’affirmative, elle se jeta de nouveau sur le canapé pour prendre la pose. Jambe ouverte à fond, une main sous un sein, l'autre sur la cuisse à coté de sa chatte, et regard de braise. Le tout avec mon sperme sur le visage, je ne pu m'empêcher de la traiter de petite salope en prenant la première photo. La seconde fut un gros plan sur sa chatte écartée avec ses doigts et la troisième sur son cul alors qu'elle s'était remise à genoux. Un petit bisou de sa part et elle fila dans la cuisine. Elle s'habilla vitesse grand V et parti à la boulangerie.

Je restai un moment, encore sous le choc de cette partie de baise bien hard juste sous le nez de ma femme. Je bandais encore comme un cerf à cause de ces photos. Il fallait que je jouisse encore alors une idée folle me traversa la tête.
Je montai rejoindre ma femme, la queue à l'air, encore rouge de mes ébats avec sa sœur. Je l'a trouvai dans la chambre en culotte et soutient gorge. Elle sursauta et me crie dessus, me demandant ce que je foutais à moitié à poil. Je l'a rassuré tout de suite en lui disant que sa sœur était au pain et que moi je me branlais en pensant à elle (ma femme).
Je lui demandai aussitôt de faire l'amour. Elle pesta en me traitant de pervers mais se mit à genoux pour entamer une fellation. Vite fait alors, me dit -elle avant de me prendre en bouche.

Purée ! J'avais réussi mon coup ! J'avais écarté tout soupçons sur mon adultère et en plus je me faisais sucer à nouveau.
Ma femme me suça de manière rapide et provocante, comme l'autre soir. Elle voulu ensuite se faire prendre en levrette jusqu'à ce que je jouisse. Je mis à la baiser de la même façon que sa sœur, brutalement, mais les doigts dans le cul en moins pour éviter toutes crises de sa part. Elle fut surprise par mes assauts et me dit ben mon cochon, t'avais envie.
Elle n'était plus qu'un trou pour moi et quand je regardais son cul, je voyais celui de sa sœur. Je jouis dans sa chatte en beuglant comme un fou. Ma femme ne manqua pas de se moquer de mon comportement. Alors que je m'étais retiré, elle serra les fesses jusqu’à s'assoir sur les toilettes sur le palier. Elle ne prit pas le soin de fermer la porte et je la regardai les jambes écartées, en train de se vider de mon sperme.

T'es un grand malade, tu le sais ? Me dit-elle, sans pour autant s'offusquer de la situation. Je lui fit un oui de la tête en m'approchant d'elle, la queue à la main. Elle comprit tout de suite se que je voulais et soupira. Va falloir que je le fasse tout le temps, c'est ça ? Je lui lâchai un ouais et lui mis ma queue dans la bouche.

A de rare occasion, j'avais le droit à des trucs "cadres", comme ma femme le disait, comme recevoir du sperme sur elle ou dans la bouche, et surtout sucer après avoir fait l'amour. Elle le faisait sans grandes convictions. Depuis notre weekend chez sa sœur, elle honore toujours sa promesse de faire sa salope pour moi. Et je lui demande régulièrement mes trucs "crades". Pour le moment, je n'ai pas de nouvelle de ma belle sœur. Je me branle sur ses photos de temps en temps.
Ma femme est devenu tellement cochonne que c'est sur elle que je fantasme vraiment.

J'attends encore un peu avant de lui demander si elle se sent capable de coucher avec une femme, pour un futur plan à trois. Je n'ai pas envie de la partager avec un homme, mais je rêve de la voir se gouiner avec une autre femme.

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